Le nouveau carnet de Joann Sfar couvre la période de juillet 2015 à juillet 2017. Il mêle texte et dessins pour réagir à l’actualité politique, sociale et culturelle. Lors de cette période riche en événements, Sfar prend son lecteur à partie comme une invitation à la réflexion et à la polémique.
Il évoque les attentats commis sur le territoire français et européen, les élections présidentielles, la montée de Marion Maréchal, le fanatisme religieux en France, le conflit israélo-palestinien, les réfugiés, le racisme, son désir de laïcité. Il dissèque avec humour et discernement les stratégies politiques, des uns et des autres, sans angélisme. Il s’amuse à analyser les éléments de langage, utilisés par les politiques et les journalistes.
Joann Sfar laisse libre cours à sa créativité pour commenter et argumenter, le ton est tour-à-tour, badin, enflammé, angoissé ou moqueur.
Il s’insurge contre les institutions, décrypte les événements culturels et partage son goût pour le cinéma. Sfar évoque avec tendresse Charb, Cabu, son grand-père cinéphile ; invoque Platon, philosophe cher à ses yeux. Il invite dans ces écrits, ses auteurs fétiches : Romain Gary, Umberto Ecco, Camus, Moebius… tout en faisant allusion à ses fidèles amis : Riad Sattouff, Christophe Blain et Mathieu Sapin.
Sfar c’est arabe ? résonne comme une voix pour dénoncer la haine.
Il évoque les attentats commis sur le territoire français et européen, les élections présidentielles, la montée de Marion Maréchal, le fanatisme religieux en France, le conflit israélo-palestinien, les réfugiés, le racisme, son désir de laïcité. Il dissèque avec humour et discernement les stratégies politiques, des uns et des autres, sans angélisme. Il s’amuse à analyser les éléments de langage, utilisés par les politiques et les journalistes.
Joann Sfar laisse libre cours à sa créativité pour commenter et argumenter, le ton est tour-à-tour, badin, enflammé, angoissé ou moqueur.
Il s’insurge contre les institutions, décrypte les événements culturels et partage son goût pour le cinéma. Sfar évoque avec tendresse Charb, Cabu, son grand-père cinéphile ; invoque Platon, philosophe cher à ses yeux. Il invite dans ces écrits, ses auteurs fétiches : Romain Gary, Umberto Ecco, Camus, Moebius… tout en faisant allusion à ses fidèles amis : Riad Sattouff, Christophe Blain et Mathieu Sapin.
Sfar c’est arabe ? résonne comme une voix pour dénoncer la haine.